Nous lançons un appel pressant aux autorités de notre pays pour qu’elles fassent preuve d’une extrême vigilance face à la montée de certains mouvements qui se présentent comme des acteurs de la société civile. En réalité, beaucoup de ces groupes sont composés d’individus mus par des intérêts personnels, souvent éloignés de l’intérêt général.
Pire encore, plusieurs de ces mouvements sont financés par des puissances étrangères et des multinationales dont l’objectif caché est de semer le trouble, de déstabiliser nos institutions et d’affaiblir la souveraineté de notre nation. Ils guettent la moindre faille pour s’y engouffrer, exploitant les tensions sociales et les frustrations populaires à des fins géopolitiques ou économiques.
Nous attirons également l’attention sur le double jeu que jouent de nombreuses ONG présentes sur notre territoire. Sous couvert d’humanitaire ou de plaidoyer, certaines d’entre elles travaillent activement à freiner l’émancipation des États africains, refusant de voir émerger des nations fortes, souveraines et maîtresses de leur destin.
Face à ces menaces déguisées, il est urgent que l’État renforce ses mécanismes de contrôle, mène des enquêtes sur les sources de financement douteuses, et établisse une politique claire de préservation de notre indépendance et de notre stabilité nationale.